Le 27 octobre 2023, l'Assemblée générale des Nations Unies a voté un projet de résolution sur la protection des civils et le respect des obligations juridiques et humanitaires dans le cadre d'une session extraordinaire d'urgence intitulée "Mesures illégales prises par les autorités israéliennes à Jérusalem-Est occupée ainsi que dans le reste du territoire palestinien occupé".
Cette résolution (A/ES10/L.25) a suscité des opinions divergentes parmi les États membres de l'ONU en raison de la complexité de ce conflit de longue date. Une attention particulière peut être portée sur les votes des pays européens, qui divergent largement.
Certains États membres ont soutenu la résolution en mettant l'accent sur la protection des civils palestiniens vivant dans la bande de Gaza. Ils ont plaidé en faveur du respect du droit international humanitaire et de la nécessité de garantir la sécurité des civils.
Israël et ses alliés ont critiqué la résolution, affirmant qu'elle ne tenait pas compte des menaces et des attaques émanant du Hamas, qu'ils considèrent comme une organisation terroriste (1). Ils ont souligné la nécessité de faire face à ces menaces pour assurer la sécurité d'Israël.
Le vote de l'Assemblée Générale des Nations Unies sur cette résolution reflète les tensions persistantes entourant le conflit israélo-palestinien, confirmant les tendances qui se dégageaient déjà des votes du Conseil de Sécurité sur les propositions de résolution présentées par la Russie et le Brésil.
N.B. : Pour visualiser les votes du Conseil de sécurité, vous pouvez aller voir ici notre précédent post sur le sujet, accompagné d'une carte comparative.
N.B.2 : L'Irak a déclaré avoir subi des "difficultés techniques" et a demandé à faire rectifier son vote. Son abstention devient ainsi un vote "pour" (Source)
Cette résolution (A/ES10/L.25) a suscité des opinions divergentes parmi les États membres de l'ONU en raison de la complexité de ce conflit de longue date. Une attention particulière peut être portée sur les votes des pays européens, qui divergent largement.
Certains États membres ont soutenu la résolution en mettant l'accent sur la protection des civils palestiniens vivant dans la bande de Gaza. Ils ont plaidé en faveur du respect du droit international humanitaire et de la nécessité de garantir la sécurité des civils.
Israël et ses alliés ont critiqué la résolution, affirmant qu'elle ne tenait pas compte des menaces et des attaques émanant du Hamas, qu'ils considèrent comme une organisation terroriste (1). Ils ont souligné la nécessité de faire face à ces menaces pour assurer la sécurité d'Israël.
Le vote de l'Assemblée Générale des Nations Unies sur cette résolution reflète les tensions persistantes entourant le conflit israélo-palestinien, confirmant les tendances qui se dégageaient déjà des votes du Conseil de Sécurité sur les propositions de résolution présentées par la Russie et le Brésil.
N.B. : Pour visualiser les votes du Conseil de sécurité, vous pouvez aller voir ici notre précédent post sur le sujet, accompagné d'une carte comparative.
N.B.2 : L'Irak a déclaré avoir subi des "difficultés techniques" et a demandé à faire rectifier son vote. Son abstention devient ainsi un vote "pour" (Source)
(1) Actuellement, le Hamas est inscrit sur les listes des organisations terroristes de l'Union européenne, des États-Unis, du Canada, de l'Australie, d'Israël, du Japon, de la Jordanie et de l'Égypte.
